Le président Moïse renouvelle son engagement à créer un hôpital pour les agents de la PNH
BRAVO AVEK PREZIDAN JOVENEL MOISE, POU BON TRAVAY LAP REMET AK NASYON AN , NOU TOUT AYISYEN AN NOU METE TET AK LI E BA LI FOS POU KONBAT KONT TOUT KORIPSYON E BAY YON LOT FIGI AK PEYI..
.SA KONN PRIYE PRIYE POU LI , PASKE POU LI ARIVE FE TOUT SA LI BEZWEN ANPIL SAJES POU JOB LA , PASKE SA LAP FE YO PA FASIL NON...
E NOU TAP TANN YON MOUN KONSA POU PEYI A... YON MOUN KI PA VIN PLEN POCH LI , MEN, KAP KITE YON ERITAJ POU LOT JENERASYON KAP VINI AN...
E NOU DI MESI AK ANSYEN PREZIDAN Mr. M. MARTELLY JOSEPH...
DONK , NOU BENI NON BONDYE POU TOUT SA...
KOURAJ PREZIDAN, NOU RENMEN W....
Le président Jovenel Moïse a effectué une visite dans quelques centres hospitaliers de la région métropolitaine, dans la matinée du mardi 28 mars 2017. Accompagné du ministre de la Santé publique et de la Population, le Dr Marie Greta Roy Clément, et celui de l’Intérieur et des Collectivités territoriales (MICT), le Dr Max Rudolph Saint-Albin, le président a renouvelé son engagement à mettre à la disposition de la Police nationale un centre hospitalier durant son mandat. Non encore achevé, l’hôpital Simbi continental de Fontamara, le premier centre visité et identifié par le chef de l’État, est destiné aux agents de la Police nationale d’Haïti, d’après ce qu’on peut lire dans un communiqué publié le lundi 27 mars. Après Fontamara, le président Moïse s'est rendu au centre de santé communautaire et l’hôpital Notre-Dame du Perpétuel Secours situés à Bon-Repos (Croix-des-Bouquets). Ces visites d'inspection s'inscrivent dans le cadre de la promesse faite la veille aux agents de la PNH qui devraient pouvoir disposer d’un « centre hospitalier » pour les accueillir en cas de besoin. Le président, se voulant rassurant, relate que son rôle consiste à encadrer les agents de l’ordre. Au niveau de son administration, Jovenel Moïse indique que l’État aura une attention spéciale pour la PNH. « Je pense que, durant mon mandat, la police, la force publique, sera dotée d’un hôpital », insiste le président de la République. D’après le communiqué, le président fait ce choix afin d’exprimer la nécessité pour les agents de l’ordre, qui effectuent « un travail noble et important », de pouvoir répondre à leurs besoins urgents en matière de santé. À l’instar des professeurs, les policiers, souligne le président, travaillent pour la patrie et doivent vivre dans la dignité avec leurs familles. En ce sens, il promet de travailler afin de permettre à des policiers, dans la nécessité, de disposer d’un abri décent. L’État doit les encadrer, les prendre en charge, pour qu’ils ne se sentent pas abandonnés. En ce sens, il promet d’étendre ces mesures aux professeurs (surtout ceux-là qui travaillent dans les lycées et les écoles nationales). Renouvelant son engagement à mettre les hôpitaux en condition de travail, le président Jovenel Moïse a tenu à rappeler que la stabilité politique est nécessaire pour la bonne marche des institutions.
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