EXPRESS NEWS: Flash...Dirijan nou yo, di yo pap aksepte sa ameriken vle fe Venezuela a E yo vle kanpanpe jiskobou ....

Flash...Dirijan nou yo, di yo pap aksepte sa ameriken vle fe Venezuela a E yo vle kanpanpe jiskobou ....

Dirijan nou yo, di yo pap aksepte sa ameriken vle fe Venezuela a E yo vle kanpanpe jiskobou....
Gade tout sa venezuela ap fe pou nou , sa pap ka pase konsa Ameriken , ou met touye nou , Ban nou venezuela pou lavi....Image result for haiti oea mars 2017Image result for haiti oea mars 2017Image result for haiti oea mars 2017
Jounen jodi a nou kapab di gen de moun sevo , kap dirije nasyon an. Haiti pran yon lot nivo...
Se pa timoun kap dirije peyi a kounye a, Kounye ayiti gen moun ladan l.
 Bravo Mesye....Genbe la....

Le Nouvelliste a pu obtenir, dans les coulisses de la réunion de l'Organisation des États américains (OEA) sur le Venezuela, le texte de la présentation prononcé par M. Harvel Jean-Baptiste, ambassadeur d'Haïti auprès de l'organisation hémisphérique Le voici. - See more at: 


Men bagay ki pi enteresan an....

Monsieur le Président, Mes chers collègues, Vous n’êtes pas sans savoir que mon pays, Haïti, est l’un des pays ayant connu une difficile transition vers la démocratie. L’expérience d’Haïti nous enseigne qu’il ne saurait y avoir ni promotion ni protection de la démocratie dans un pays à coups de sanctions. Nous devons donc tirer leçon de l’expérience haïtienne. Seuls le dialogue, la recherche du compromis, la médiation non partisane et sans ingérence, peuvent protéger et promouvoir la démocratie dans la région. Nous profitons à cet effet de l’occasion pour remercier le Conseil permanent de l’OEA, pour le rôle médiateur qu’il a joué sans ingérence et sans menaces de sanctions, dans les négociations haïtiano-haïtiennes qui ont abouti au dénouement heureux du processus électoral en Haïti.

 Force est alors de constater que les sanctions ne sont pas la solution. De ce fait, il est impératif de défendre l’OEA contre toute instrumentalisation qui peut en être faite au détriment des intérêts d’un Etat membre. Ainsi notre appui au Venezuela relève-t-elle fondamentalement d’une question de principe. Si nous autorisons la menace de ce coup d’Etat maquillé contre le gouvernement élu du Venezuela, nous ne pourrons pas empêcher qu’on en fasse de même, à l’avenir, contre d’autres pays des Amériques. Dans cette perspective, ce qui se passe à l’OEA en cet instant même, augure des jours sombres pour l’Organisation hémisphérique et pour notre région. L’Organisation des Etats Américains n’a jamais été aussi divisée.
 La convocation d’une réunion du Conseil permanent pour débattre de la situation d’un Etat-membre, sous la menace de suspension de cet Etat, et en cherchant à pousser vers des élections anticipées contre un Président élu, tout cela nous fait craindre la mise en œuvre d’un agenda qui ne correspond ni à l’esprit ni à la lettre de la Charte de notre organisation.

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